NeoSante.eu nous offre un très bel article, merveilleusement écrit et décrivant très justement le propos de Sweet Me the Game. Le tout dans un dossier sur l’immunité positive. J’adore !
Un grand merci pour ces mots.

Du jeu au nous

Jouer est un besoin inné. Chez l’enfant, mais aussi chez l’adulte, le jeu « améliore la santé physique, sociale et mentale », souligne Tim Bill, chercheur indépendant.

Jouer offre aussi de passer « du jeu au nous » d’affiner sa compétence relationnelle. Or, comme nous l’avons vu, le lien sociale, altéré par les mesures sanitaires, est essentiel à la santé.

Afin de nourrir le lien, notre humanité, à travers un feu d’artifice d’émotions positives (qui favorisent l’immunité), voici un jeu de société pas comme les autres. Dans Sweet Me the Game, conçu par la coach et thérapeute en Gestalt, Corinne Chantegrelet, pas de gagnant, pas de perdant.

« Nous voulions mettre notre pierre à l’édifice d’un monde nouveau tourné vers l’autre, sans s’oublier soi ».

L’objectif est simple : contribuer à l’épanouissement de tous, en libérant dans la joie du jeu la parole positive, nourrissante, par le biais de compliments reçus / donnés.

Pour l’avoir testé en famille (avec 3 enfants, de 9 à 15 ans), nous avons tous été surpris par l’écoute que ce jeu favorise, par la douceur, la profondeur inattendues des compliments partagés.

Au final, un jeu qui permet de mieux se connaître, tout en s’amusant. Je l’ai aussi testé en groupe (individuels, organisations), avec un réel bénéfice « empathie ».

Fondées  à Bruxelles  au début  de l’année 2011, les Editions Néosanté exercent deux activités principales : l’édition de livres et la publication d’une revue mensuelle de santé globale, réalisée par des journalistes en collaboration avec des praticiens spécialisés en décodage des maladies.

Editeur responsable de la revue Néosanté,  Yves RASIR est journaliste indépendant depuis près de 30 ans. Initié à l’hygiénisme par le naturopathe André Passebecq, il a  eu la chance de rencontrer les grands médecins et chercheurs qui ont mis à jour le sens biologique des maladies (Henri Laborit, Ryke Geerd Hamer, Alain Scohy, Robert Guinée…) et de se former auprès de certains d’entre eux (Olivier Soulier, Claude Sabbah, Gérard Athias…). Fondateur et rédacteur en chef du magazine BIOINFO pendant 13 ans, il y a promu les premiers efforts d’information du grand public sur le nouveau paradigme médical.

En créant Néosanté, il poursuit ainsi un parcours de vie entièrement dédié au  « sens des maux et à leurs solutions bio ».

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