Je vous invite à lire un très bel article paru en juillet 2020 sur Psychologies.com sur l’essor des Jeux de société axés développement personnel. Bon ! Petit bémol, Sweet Me® the Game n’est pas cité … pas encore ! Mais, comme dit l’adage : ❝ l’espoir fait vivre ❞  alors … ça viendra !

Je reproduis ici une partie de l’article, et je vous invite à vous promener sur le site Psychologies.com.

1er mars 2021, Sweet Me the Game, Journée Mondiale du Compliment

Les jeux de développement personnel vont-ils damer le pion aux classiques Cluedo, Trivial Pursuit et autre Scrabble ? Une certitude : leurs ventes décollent et les initiés sont emballés. Jouer ensemble pour explorer son monde intérieur : enquête sur un phénomène de (jeux de) société. 

Au sommaire

 Une métaphore de vie
 Des questions sans réponses toutes faites
 Ni gagnants, ni perdants
 Les meilleurs voeux de développement personnel

A l’époque du multimédia et des jeux vidéo sur console ou sur Internet, il est difficile d’imaginer l’incroyable succès de nos jeux de société traditionnels. Ceux qui, loin du numérique et des prouesses visuelles de la 3D, requièrent un simple plateau, des dés, quelques pions et un jeu de cartes. En témoignent pourtant un chiffre d’affaires en progression depuis cinq ans, la création de plus de mille ludothèques — avec des “ludobus” qui sillonnent les campagnes —, l’annonce en 2008 de la création d’un Centre national du jeu à Boulogne-Billancourt en 2010. Ou encore le succès du Festival international des jeux, à Cannes, celui du Salon du jeu de société, qui a ouvert ses portes pour la première fois au public à Paris au mois d’avril dernier, l’organisation de six concours de création de jeux de société familiaux en France …

Une métaphore de vie

Dans ce mouvement, les jeux de développement personnel ne sont pas en reste, et bénéficient parfois de ventes considérées comme exceptionnelles par les professionnels. En tête, le Jeu du Tao et ses quarante-cinq mille exemplaires vendus, suivi de près par Les cartes des anges, qui atteignent les quarante mille exemplaires . Dix fois plus que la moyenne des livres de développement personnel. Un succès tel que le Salon zen de Paris leur consacre désormais un espace privilégié.

« L’une des raisons de ce succès tient à leur principe même, assure Yves Michel, fondateur des éditions du Souffle d’Or, leader sur le marché. Ils nous plongent dans une situation métaphorique de la vie, qui permet, d’une façon ludique, de mieux se connaître tout en testant sans danger de nouveaux comportements. »

Voilà la première grande différence entre les jeux de société « familiaux » et ceux de développement personnel : selon les psychologues, en temps normal, les enfants jouent pour se découvrir et se structurer ; les adultes, pour s’oublier et se dépasser. Ici, ces quatre principes sont réunis dans un seul et même espace. « À l’occasion d’une partie, l’adulte s’autorise à donner une place à la part d’enfance qu’il a, heureusement, conservée au fond de lui et qui contribue fortement à le rendre humain », explique le psychosociologue Jean Epstein dans la préface de Jeu vous va si bien ! de Pascal Deru.

 

Des questions sans réponses toutes faites

Mais ce n’est pas tout.

« Les jeux de développement personnel ont une particularité : ils posent des questions dont les réponses ne sont pas déterminées », atteste Pascal Desclos, le fondateur de la société Valorémis et concepteur de Plury One.

« Après dix ans de syndicalisme, de médiation et de formation en relations humaines, je me suis aperçu que le savoir académique et les connaissances livresques étaient érigés comme seul indicateur de reconnaissance de l’individu. Du coup, de nombreuses personnes ne se sentant pas à la hauteur, elles n’osent pas exprimer leur savoir personnel. Plury One leur offre un accès à la parole, puisqu’il valorise la connaissance de la vie et l’expérience. » Par exemple, plutôt que de demander qui a gagné le prix Goncourt en 2005, le joueur devra répondre à la question : « Qu’est-ce qui n’a pas de prix selon vous ? » ou se verra proposé : « Inventez une phrase qui n’a pas de sens ».

Ce principe se retrouve dans tous les jeux de développement personnel, qui nous demandent d’exprimer notre avis, d’éveiller notre créativité, de faire le point sur certains aspects de notre vie, de réfléchir sur nous-mêmes… En somme, l’inverse du Trivial Pursuit.

Ni gagnants, ni perdants

Pascal Desclos est allé plus loin en développant des jeux utilisés par les professionnels de la psy et de la relation d’aide, comme Distinct’Go ! — qui permet aux jeunes d’aborder les questions de société qui les concernent —, ou 8e Dimension, conçu par la pédopsychiatre Nicole Catheline, et le pédopsychiatre Daniel Marcelli et son équipe en vue d’aider les adolescents en difficulté.

Il en existe aussi des « sur mesure » pour des écoles, des centres de formation, des entreprises … « Cette approche permet de travailler sur les grands sujets de la vie et de la société, comme le handicap, les aptitudes professionnelles, les discriminations, les conduites à risques, la consommation responsable, poursuit Pascal Desclos. Comme dans les groupes de développement personnel, le collectif est valorisé : les réponses sont validées par le groupe de joueurs, chacun participant ainsi à l’évolution de l’autre ».

En effet, alors que le développement personnel a longtemps été orienté vers la quête de soi, l’individuation, voire l’individualisme, il s’oriente désormais de plus en plus vers la réalisation de soi « avec » les autres.

« Ces jeux dans lesquels il n’y a ni gagnants ni perdants n’en sont que plus conviviaux, dit Yves Michel. Le bénéfice est ailleurs : être écouté donne non seulement l’occasion d’écouter les autres, mais aussi de s’entraider. » Ce que propose entre autres le Jeu de l’entraide, un ensemble de cartes de situations mis au point par deux experts en communication ; ou le Jeu de la transformation, avec en plus une dimension spirituelle ; ou encore le Jeu du Tao, qui nous invite à explorer notre monde intérieur tout en élaborant des projets communs.

Yves Michel n’hésite pas à qualifier certaines parties de « véritables séminaires de connaissance de soi et des autres ».

Sweet Me® the Game s’inscrit tout à fait dans la droite ligne des jeux cités dans cet article.

Son objectif : Libérer la parole douce, positive et nourrissante en faisant des compliments à ses partenaires de jeu.

Les 100 cartes Sweet proposent des thèmes originaux de compliments.
Les règles du jeu proposent d’aller plus loin que simplement « complimenter » …
Sweet Me® propose de se dévoiler, de dire à l’autre en quoi il est important pour nous.
En s’appuyant sur des expériences communes, nous donnons ainsi corps et puissance à nos mots.
En cas de manque d’inspiration,
un site internet dédié propose des aides pour faire encore + de bien à ses partenaires de jeu.
Les cartes Game, quant à elles, permettent de rendre les parties ludiques,
et aussi parfois, de faire descendre la charge émotionnelle.

Offrir des compliments et recevoir des mots doux authentiques … ça génère de l’émotion ! 

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